RAISON 1 : oui c’est vrai, New York c’est pas donné, notamment en terme de logement. Du coup, une fois sur place, autant profiter des activités gratuites !
Bon à savoir, on peut profiter de sa Metrocard pour prendre gratuitement le téléphérique pour Roosevelt Island. Il suffit de se rendre à l’angle de la 60th street et de la 2nd avenue pour emprunter une grosse cabine rouge et profiter d’une vue inédite (même en ayant le vertige, promis). Sur l’île, marcher un peu vers le sud et découvrir l’énormité de l’immeuble de l’ONU et toute la skyline de Manhattan… en compagnie des canards. Très reposant, assez impressionnant.
RAISON 2 : descendre à l’extrémité sud de Manhattan, entrer dans l’énorme Staten Island ferry whitehall terminal et imiter Carry et ses copines en prenant le ferry gratuit pour Staten Island ! La vue est démente, surtout si à l’aller, on prend la peine de se poster à l’arrière droit du bateau, au premier étage : c’est le meilleur endroit pour voir la statue de la liberté. Attention, sans zoom elle semble finalement assez petite (mais elle ne l’est pas !). La traversée est plutôt rapide et personnellement je reprends immédiatement un ferry dans l’autre sens. Une fois la terre ferme rejointe, je remonte Manhattan en profitant de la fraîcheur de Battery Park.
RAISON 3 : errer de salle en salle dans le MET. Certes, le célèbre Metropolitan Museum n’est pas gratuit mais il pratique le « Pay what you wish » et une donation d’à peine 1 $ suffit pour pouvoir entrer dans ce gigantesque musée niché en plein cœur de Central Park. Une fois arrivé, je vous le garantis : c’est l’open bar de l’histoire de l’art…
Coup de foudre absolu pour le temple d’Isis de Dendour déconstruit en Egypte et reconstruit ici, en plein centre de la Big Apple, que je visite systématiquement… tout comme les salles dédiées à la période médiévale avec des chevaliers en armures étincelantes qui semblent se ruer sur les visiteurs… ou encore le fameux « Deux jeunes filles au piano » de Renoir (ma grand-mère en avait reçu une reproduction en cadeau bonus d’une commande sur un catalogue et je le regardais inlassablement. Quand je le croise, je me demande toujours si la gosse que j’étais se doutait qu’un jour elle le verrait « pour de vrai » de l’autre côté de l’Atlantique)…
Un commentaire