
3 raisons pour… transformer le coronavirus en souvenir artistique
Tout a commencé par une pandémie mondiale. Face à cette situation inédite, que faire ? Se résigner ? Se morfondre ? C’est mal connaître Gautier DS, l’artiste nordiste qui m’a contactée pour me parler de Coron’haïku*. Ce projet iconoclaste, satirique, politique et facétieux en diable se résume en 3 mots : un jour, un haïku, un pangolin. En somme, plus de 40 poèmes plein d’esprit, illustrés de pangolins et postés sur Instagram pendant toute la durée du confinement. Une fois n’est pas coutume, c’est aujourd’hui un projet artistique que j’ai choisi de vous présenter sur le blog. Envie d’en savoir plus ? Vous avez raison. Allez, on y va.
*haïku, quesako ? Il s’agit d’un poème court en trois vers, d’origine japonaise. Le Coron’haïku ambitionne ainsi de « dépoussiérer l’art ancestral du haïku » avec des publications quotidiennes de poèmes et d’illustrations dans l’air du temps.