Colorée et bruyante, grandiloquente et romantique, douce et désuète, Budapest apaise, distrait, stimule et sait se rendre absolument inoubliable. Une ville à vivre et à revivre, comme je l’évoquais dans un premier article ici. Vous êtes séduits ? C’est parti pour 3 nouvelles raisons…
RAISON 1 : la visite débute dans la vieille ville. En quelques minutes, le Budavari Sikló (le téléphérique) relie le pont des chaines et le château de Buda, tout en haut de la colline. L’occasion de rejoindre sans efforts les hauteurs de Buda pour un moment romantique (n’est-ce pas Marianne ?), même si ce genre de sentiment ne vous étreint pas (c’est mon cas. Merci au Caramel macchiato qui m’a amené de la joie malgré tout). Le panorama sur la rive est pourtant inoubliable, tout comme la douceur de vivre ambiante, les couleurs sublimes des bâtiments et l’architecture qui séduit invariablement.
RAISON 2 : le langos ! Imaginez une petite pizza un tantinet plus grasse, garnie de crème et de fromage… ou de légumes (il existe aussi des versions avec de la viande). Il s’agit du must have des fêtards australiens, du Graal des clubbers à la sortie des ruin bars, du repas cheap des visiteurs en mal d’acclimatation, ou tout simplement de la curiosité locale à déguster. Un conseil : goûtez ce mets au premier étage des halles situées près du pont de la Liberté. Ambiance garantie. Un conseil cependant, évitez les boutiques pour touristes où tout est « made in China »…
RAISON 3 : moderne, classique, vert, jaune, décoré de chaines ou arborant de fières statues de lions… les ponts de Budapest se complètent et font partie intégrante de la ville. Remonter le Danube, c’est découvrir, savourer les ambiances, humer l’air du temps et s’imprégner des époques qui font de cette destination un endroit incontournable (à seulement 2 heures de Bruxelles)…